Qu’est-ce qu’un consultant RH ?

Le consultant RH, également appelé consultant en ingénierie RH est un travailleur autonome. Sa principale mission est d’apporter son aide aux entreprises dans le cadre de la gestion des employés. Zoom sur le métier de consultant RH.

Qui est le consultant RH et quelles sont ses missions ?

Le Consultant RH est un prestataire extérieur. Il intervient sur demande en tant que conseiller. Son rôle est d’apporter un soutien dans la gestion des questions relatives aux ressources humaines des entreprise comme le propose www.actua.fr.

Les missions du conseiller en gestion des ressources humaines sont entre autres l’organisation des recrutements ou la gestion des contrats de travail. Il est aussi sollicité pour gérer les conflits internes. Pour réussir ces missions, le consultant RH doit comprendre les besoins des entreprises. Il doit ensuite déceler les problèmes et y apporter des solutions efficaces.

Vous pourriez avoir besoin d’un consultant RH pour bénéficier de l’objectivité d’un œil extérieur à votre entreprise. Il pourra aussi vous être utile lorsque votre DRH sera indisponible (manque de temps, congés, etc.).

Quelles formations et qualités faut-il pour exercer ce métier ?

Pour être consultant RH, il faut avoir au minimum un BAC +4/5, en RH, psychologie ou sciences sociales. La liste n’est pas exhaustive, puisque vous pouvez partir d’une formation généraliste pour aboutir à ce métier. Des connaissances dans plusieurs domaines (droit du travail, sociologie, fiscalité…) sont un atout.

Un bon consultant RH doit être polyvalent et avoir d’excellentes capacités relationnelles. Il doit être un fin psychologue et avoir un grand sens de l’écoute. De plus, il est indispensable qu’il soit un bon communicateur.

Quelle rémunération pour un consultant RH ?

En moyenne, la rémunération d’un consultant RH est un peu au-dessus des 5 000 € bruts par mois. Bien entendu, ce salaire varie plus ou moins en fonction du client.

Le consultant peut bénéficier d’avantages sociaux, tels que les allocations de chômage (en fin de mission), tout en gardant l’autonomie du freelance. Il doit pour cela s’adresser à des structures de portage salarial.

 

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